Dame Nature, qui a déposé durant la nuit une épaisse couche de neige devant ma porte, m'oblige a changer mes plans de la journée, hélas!
Et c'est HARDY/SOUCHON (Hardy, Françoise: la pauvre dame riche qui craint pour ses biens immobiliers...) qui me tiennent compagnie en ce moment au lieu d'assister comme prévu depuis semaines à l'atelier philo dont le sujet "Foucault: surveiller ou punir" m'aurait mieux intéressée.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Mais, que faire contre les éléments si ce n'est que de les accepter tels qu'ils viennent, et sans s'y soumettre d'essayer de les contourner...? Tel est donc tout l'usage de la philosophie (appliquée et très personnelle) que je ferai ce matin: me faire plaisir et remplir le vide avec activités que j'aime, telles lecture et musique.
Et puis une émotion entraînant l'autre:
"
«soleil d'hiver ou d'été
il voit les amours passer
et les chagrins
combien faudra-t-il de plage
combien d'autres visages
pour comme toi
oublier la maison
et l'enfant aux cheveux blonds
que nous n'avons pas
soleil je t'aime
et pour toujours
tu es fidèle
mais l'amour
n'est pas souvent comme toi
pourquoooi? »
la nostalgie m'a envahie.
Et j'ai fait comme j'aurais fait dans d'autres temps pas si éloignés: oubliant ou voulant ignorer que j'avais, poussée par la force des choses, dans ce cas précis la bêtise humaine, quitté volontairement ces couloirs où je me suis tant plu, que j'appréciais et où dans de moments comme celui-ci souvent je trouvais de quoi remplir intellectuellement un bon moment et surtout, grâce à la culture, à l'intelligence et à l'esprit de pas mal de « conclubiotes » j'oubliais ce doux dérapage mélancolique pour ressortir revigorée et pleine d'entrain...
Eh ou, je l'avoue !
Suiz'allée
faire un tour au Clube ...
Et alors là... les ami(e)s ! si jamais vous vous êtes posée ces derniers temps l'insidieuse question de savoir si avec un peu plus de tolérance, d'humilité ou de compréhension vous auriez pu continuer de fréquenter les lieux... pour ma part, moi, qui me la suis posée, la question, j'en ai eu ma réponse !
Méduse, Euralye et Sthényo sous les pseudos d'Arpège, Maryan-qq-chose et Giuilette-machin (les deux dernières reconnaissables malgré l'usage récurrent à de multi-pseudos) continuent de pétrifier la parole et la pensée des vaillant(e)s tels la brillante « chasseresse » ou bien des « Annie » que nous connaissons ou encore d'autres qui essaient de porter le débat ailleurs que sur les phobies et obscurantismes particuliers dont ces individus et quelques sbires en sont accablés. Le niveau du langage et des échanges vous pouvez les imager d'autant plus que les trois gorgones se sont divisés et se battent entre elles à hauteur de ce qu'elles peuvent donner.
Ah.. Médiapart, Médiapart...! tant d'espoir pour... ça?
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